Une des dernières fois qu’on a entendu parler d’Isolée, c’était pour son live à l’occasion de We love Isolée (des nouvelles des soirées We love Art sur leur site avec une édition "inhabituelle" mardi 28 et sinon à la rentrée), perché au dernier étage de l’Arche de la Défense avec Ark. Ses basses funky as fuck et ses mélodies bien senties avaient tout retourné en 45 minutes chrono.
Pour We are Monster, son deuxième album sorti sur Playhouse, l’auteur du splendide et fameux Beau mot plage revient à quelque chose de plus calme (à la limite récemment son autre facette s’exprime plutôt dans son bon travail de remixeur). C’est en effet un disque paisible et homogène qui renferme des morceaux qui varient beaucoup sans trop s’énerver pour autant; le tempo reste modeste. Les basses en tout genre et les drums légèrement distordues sont agencées avec une remarquable perfection, formant des écrins pour des mélodies qui les quittent sans jamais y revenir, le tout en conservant une cohérence minimal sans failles. Un très bon album, ouvert par Picture loved, un morceau fidèle à cette impression d’ensemble.
Pour We are Monster, son deuxième album sorti sur Playhouse, l’auteur du splendide et fameux Beau mot plage revient à quelque chose de plus calme (à la limite récemment son autre facette s’exprime plutôt dans son bon travail de remixeur). C’est en effet un disque paisible et homogène qui renferme des morceaux qui varient beaucoup sans trop s’énerver pour autant; le tempo reste modeste. Les basses en tout genre et les drums légèrement distordues sont agencées avec une remarquable perfection, formant des écrins pour des mélodies qui les quittent sans jamais y revenir, le tout en conservant une cohérence minimal sans failles. Un très bon album, ouvert par Picture loved, un morceau fidèle à cette impression d’ensemble.
J’en place une pour Pillowtalk, ce titre de morceau me plaît.
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