15/12/2008

Ma ville, elle est mieux que la tienne, c'est prouvé



Les morceaux de ce genre, à savoir ceux qui parlent d'une ville, sont souvent réussis. Ou pas. En France, c'est souvent raté, surtout quand ça commence à parler de département, sauf pour les additions. Et même quand ces messieurs en parlent pour dire qu'une ville est naze, c'est bien aussi. J'en fais l'implacable démonstration dans trois lignes.

Je ne sais pas trop si ce morceau est produit par Lil' Fame, mais peut être, ça serait bien que tel soit le cas. Ajoutons le donc au New York de Sinatra, Ja Rule, Nas, du Dogg Pound, au SF de San Quinn et ses amipotes, et au LA LA de CNN & Tragedy.

14/12/2008

Le Jour du Seigneur part 8




Blasphème, apostasie & hérésie pour un dimanche réussi.

13/12/2008

Je m'en étais surtout rendue compte sur ton blog




Ça manquera sûrement de mots, certainement, certainement. C'est un album entier, pour sûr.
Et par entier, oui oui, j'entends que toutes les chansons sont bien présentes. 
Mais aussi & surtout que c'est entièrement bien. 
Et comme ça n'aura pas l'écho mérité, bien, faisons le un peu ici, peu ici, peu ici.

11/12/2008

Les enfants qui mentent ne vont pas au paradis



Tu connais pas le principe ? 5 mecs partent dans un endroit genre Miami, Rio et voilà, je suis lancé pour faire un grand écart. Le principe du même nom de morceau, mais de deux groupes qui sont diamétralement opposés.

Pensez donc, d'un côté, les californiens d'Hip Hop Kclan, que tout le monde a oublié dans le monde de l'internet, alors qu'il y a pas si longtemps, ce même monde etait tout fier de possèder plein de cdr de ces gens là. Les 3/4, c'etait des mp3, ouais. De l'autre, venant sans doute d'Harlem, un rescapé des Diplomats, que personne ne désire plus parce que, déjà le groupe n'existe plus que dans les coeurs de certains soldats, et d'autre part, parce que 40 Cal n'a jamais vraiment réussi à s'imposer dans les 2 aortes ventrales des autres dans ses petites escapades en solos. Et je ne parle pas de qualitatif, non non, la série Trigger Happy était pas mal, son dernier solo/tape/album, pareil.

Leur seul point commun est finalement d'avoir été adulé par les mêmes gens, en décalé,  et si je dis ça, c'est pas pour être méchant, je m'inclue sans trop avoir de problème dans son constat, mais je suis fidèle, une bonne pâte, alors j'écoute encore, tout, et je suis récompensé dans cette quête, avec ce principe de morceau ayant décidés de s'appeler pareil. Et là, ou c'est super marrant, c'est que le nom du morceau est super ridicule. Putang, oh non, ce n'est pas un marseillais qui est déçu de ne pas avoir encore attendu The Cure de Rza, c'est juste un truc hispanique à la con dont je n'ai pas tellement compris le sens sur Urban Dictionnary.





Bon, pour finir la semaine, un album super, que j'ai découvert y'a une heure, mais comme je vais le donner en entier, on disait que ça fait 10 ans que je l'ai et que je l'ai acheté lors d'un de mes fréquents séjours à la Nouvelle Orléans. Bon, ce n'est pas le même J-Dawg, petit copain de Slim Thug au sein des très copains de Slim Thug, les Boss Hogg Outlaws, mais la moitié du groupe Black Menace, qui a sorti un album très bon aussi, un an avant celui qui arrive dans l'article. "Drama time", que lui je connais depuis longtemps, au moins 3 mois.

Le petit descriptif qui provient de l'endroit ou je l'ai trouvé :

"J-Dawg is a rapper from New Orleans, LA. He is known for his violently themed fast paced tongue twisting flows. He is also one half of the group, Black Menace. This album was released in 1997 on Big Boy Records. Production was excellently done by Precise, Ice Mike and David Faulk. The beats are made to bang and they fit J's style perfectly."

Excellent "spot" d'ailleurs, vous pouvez vous y rendre et le remercier en cliquant sur la chose en anglais qui suit : Deadly Grounds.